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mardi 1 avril 2014

Des bouleversements en perspective

EDIT : C'est bien, beaucoup d'entre vous savent que le poisson est bon à la santé. Désolé pour ceux qui sont tombés dans le panneau et qui ont eu quelques frayeurs pour nous, en tout cas vos messages de soutien montrent que vous tenez bien à nous. Rassurez-vous, tout va bien, nous n'allons pas déménager (et Laëti n'est pas enceinte, sorry pour ceux qui espéraient :) ).




Ce n’est malheureusement pas pour vous donner de bonnes nouvelles que nous écrivons l’article de cette semaine.

En effet, notre train-train quotidien, qui s’était tout doucement installé au fil des presque sept mois que nous sommes installés dans cette partie du monde, a été pour le moins chamboulé ces derniers jours. La raison en est un évènement pour le moins inattendu...
 
Notre séjour prend un tournant inattendu...
Dimanche dernier, jour qui semble être fait pour les ennuis en tout genre, notre « cher » propriétaire nous annonce subitement que notre bail ne sera pas renouvelé et que nous devons quitter les lieux deux semaines plus tard (soit, dans 10 jours à l’heure où nous écrivons ces lignes). Il faut savoir que les loyers ici se paient à la semaine ou toutes les deux semaines, jamais au mois, donc les délais de préavis pour éjecter les locataires innocents sont également plus courts. La législation néozélandaise permet ce genre de choses sans justification de la part du propriétaire. Nous avions bien compris en discutant avec lui, avant cet incident, qu’il ne voyait pas d’un bon œil que sa maison soit potentiellement bientôt occupée par une troisième personne, aussi minuscule soit-elle, mais jamais nous n’aurions imaginé qu’il nous éjecte comme ça. Nous aurions mieux fait de nous taire...

Et nous emm* jusqu'au bout, comme nous n'avions pas d'assurance, cet abject personnage va nous envoyer un huissier de justice car il prétend que toutes les affaires se trouvant dans la maison lui appartiennent. Oui, tous les meubles, l'électroménager, et nos ordinateurs bien sûr. Et comme nous ne pouvons rien prouver, nous nous sentons "quelque peu" pris au piège.

Les prochains jours, voire semaines, seront donc très intenses car nous devons très rapidement a) trouver un nouveau logement, b) déménager toutes nos affaires si on réussit à prouver qu'elles nous appartiennent et réenménager et c) trouver un médecin qui pourra suivre Laëtitia sans nous ruiner, vu sa situation. Dans tout les cas,
Nous vous tiendrons bien évidemment au courant de l’avancée de la situation dès qu'on le pourra. En attendant, vous risquez de ne plus avoir de nouvelles de nous pendant quelques semaines.

lundi 4 novembre 2013

Absolument dégueulasse !

Mardi 29 octobre 2013

Greg : "Derrière le tiroir à couverts... de toiles
d'araignées !"
Le matin, on se lève de bonne heure et on se met au travail pendant que Monsieur est à l’université. On commence par la cuisine, c’est le plus important ! Avec un peu de motivation et d'efficacité, elle pourra être prête pour quand il rentrera.
D’abord les armoires, histoire d’avoir le minimum nécessaire à portée de main et de pouvoir dégager quelques cartons en rangeant tout. Elles n’ont visiblement pas été entretenues depuis un certain temps, ou alors par des coups de chiffon superficiels. L’arrière du tiroir à couverts en témoigne et l’aspirateur est mon ami.
Les premières vraies surprises arrivent : on ouvre le four et on se demande s’il a un jour été nettoyé. On retire les plaques de cuisson et on se demande si elles ont un jour été nettoyées. On touche les rideaux et on se demande s’ils ont un jour été nettoyés. On touche le plafond par inadvertance en lavant une armoire et on se demande s’il a un jour été nettoyé. Et puis on se demande comment la précédente locataire a pu vivre là-dedans. Et puis on comprend pourquoi elle a été virée par le proprio.

Quand je dis qu'on finit
par regarder dans les
coins..
.
Oh ! Et j’allais oublier de vous parler des patates pourries derrière des tonnes de sachets dans une armoire ! Et des vieux médicaments ! Et de la petite boite bizarre avec un contenu non identifié ressemblant à de vieilles céréales à déjeuner ! Que de cadeaux qu'elle nous a laissés !

Après avoir fait face à ces quelques dégueulassetés, une frénésie maniaque commence à s’installer. Cela se traduit par une inspection systématique de chaque coin, de chaque rebord, de chaque centimètre carré de meuble, mur, fenêtre, sol ou plafond de cette maison, associée à un redoublement de l’énergie déployée pour frotter la moindre tache. Le seuil de tolérance à la saleté diminue aussi dangereusement : pas question de « passer un coup comme ça » et on commence à vérifier ce que le mari nettoie. Ajoutons à cela le fait que quelque chose ne pourra être considéré comme véritablement propre qu’un mois plus tard et à condition d’avoir été lavé une dizaine de fois. Du moins, dans ma tête.

Vous, vous allez bien vite faire un tour (et même
plusieurs centaines par minute) dans la
machine à laver !
Un petit tour à la bibliothèque pour squatter Internet et changer notre adresse, puis au centre commercial pour faire quelques courses : double des clés, confiture, recharge GSM, revêtement antidérapant pour les armoires, bassin ou seau… Et puis, en réponse à la ligne « trouver de quoi nettoyer le sol », on achète un balai vapeur qui servira aussi à nettoyer les fenêtres, les sols et tout un tas de trucs. Sauf que sur mon vélo, ça ne tient pas… La livraison est prévue pour la semaine à venir… Mais j’en ai besoin de suite, moi !! Apparemment, l’insistance n’a pas rendu le vendeur plus efficace… Je m’attendais à ce qu’il propose de l’apporter chez moi le soir même mais, encore une fois, je rêve. Et malgré tout ça, je n’ai même pas oublié de diner !

On remarque qu'il n'y a pas de hotte dans cette
cuisine...
Finalement, mardi soir, rien ne semble avoir beaucoup changé ; et pourtant, le seul repos que je me suis autorisé a été le temps nécessaire pour écrire l’article précédent. Deux armoires nettoyées ainsi que le tiroir à couverts, une caisse vidée, la porte du four lavée deux fois, un rideau passé à la machine…

Et puis, les effets sur le corps commencent à se faire sentir : mal au dos, mal au bras, mal aux genoux, peau des mains sèche (malgré que j’ai utilisé principalement la main gauche parce qu’elle est en moins mauvais état). Après ça, mes gènes me rattrapent et, à l’instar de mon paternel, je m’endors dans le fauteuil après avoir mangé un bol de céréales. Ce n’est que le début…




T'es assez grande pour écrire "Plafond"
au plafond, toi ??
Merci papa d'avoir nettoyé tes plaques avec
une éponge en métal depuis des années...
sinon, je n'y aurais pas pensé !


Mercredi 30 octobre 2013

Alors que l’une s’apprête pour le cours de couture (Quoi ?? Tu l’as pas dit ça, tu as oublié un article !!) et l’autre pour le travail à l’université, un monsieur inconnu frappe à la porte. Il semblerait qu’il vienne installer la « heatpump » et que le propriétaire ait oublié de venir.

Après avoir mis la majorité de nos affaires dans le couloir, à l'abri de la poussière, et tout en continuant à vaquer à nos occupations, nous discutons un peu avec le professionnel et nous observons sa façon de procéder. Pour l’avoir vu de nos propres yeux, nous savons désormais que la maison est faite de quelques centimètres de bois, vingt centimètres d’air et un mur de briques en béton. Isolation au top du top ! 
Nous avons aussi appris que ce monsieur a visité l’Europe et vécu deux ans en Allemagne et qu’il trouve révoltant que les propriétaires et agences immobilières d'ici profitent de la situation après le tremblement de terre pour se faire du fric sur le dos des locataires. Ça tombe bien, nous aussi. Je lui ai montré un peu l’état du plafond et du four en disant que s’il veut en toucher un mot au proprio, ce sera toujours mieux que si on le fait nous-même : il est d’ici, c’est un professionnel et un homme. L’histoire ne dit pas s’il a croisé le propriétaire ou non ce jour-là. Mais lorsque nous sommes rentrés, le climatiseur était installé ! Car en fait, avoir une « heatpump », c’est disposer de l’air conditionné !

On a acheté un peu de courage au supermarché.
Encore un tour au centre commercial, où notre supermarché pratiquait des prix encore plus bas à l’occasion du « Wicky Wednesday » avant Halloween. C’est le moment de faire des folies en s’achetant un peu de courage pour la suite des évènements. Histoire de sortir de mon régime fait de pains à la confiture et de céréales à déjeuner, je m’achète encore une fois à manger. Ingurgiter quelques légumes ne me fera pas de mal. Décidément, ce nettoyage finit par couter cher !

Au retour, je m’acharne sur la porte du four. Au total, il aura fallu six lavages et l’utilisation d’une éponge en métal pour qu’elle retrouve à peu près sa couleur d’origine. Oh, comme je me réjouis de nettoyer le reste du four… !

Cleanin' an oven's door... (3e refrain)
Après avoir compris que je n’arriverai pas à bout de cette cuisinière aujourd’hui, je m’attaque au frigo. Toutes planches dehors, je frotte plus que nécessaire, probablement par habitude. L’eau a fini quand même bien grise, mais les circonstances me font dire que finalement, le frigo n’était pas si sale.

Rien de tel qu'une soirée jeux de société avec les potes pour se changer un peu les idées pendant quelques heures avant de revenir dans ce lieu de chaos.

La fatigue m’endort encore une fois dans le fauteuil avant que je me déplace dans le lit. Cette nuit, au moins, nous avons des rideaux à la fenêtre de la chambre.





Note :
Si le ton de cet article vous donne l'impression d'être débordé et/ou vous fait penser à un rythme effréné où tout s’enchaine sans voir le temps passer, c’est que c’est réussi. Sinon, relisez-le en vous mettant dans l’état d’esprit décrit précédemment.

jeudi 31 octobre 2013

Notre maison à St Albans

Maintenant que nous disposons de notre maison, nous pouvons vous expliquer comment cela s’est produit. Et vous aurez même droit à plusieurs articles à ce sujet, étant donné l’état dans lequel elle est pour le moment…

Un certain dimanche de la mi-octobre, en parcourant les sites immobiliers comme à mon habitude, voilà qu’une annonce intéressante  – comme beaucoup d’autres avant, en fait – se présente. Une maison à deux chambres doubles située dans le quartier de Merivale, plus proche de la ville, et la moins chère que j’aie vue jusque là. Quelques photos qui semblent prises de l’extérieur ( !? ) nous indiquent que la maison semble correcte. Aucun commentaire utile. On peut remarquer que l’annonceur n’est pas une agence mais un particulier. Chouette, pas de frais à l’entrée !

Thomas téléphone et le propriétaire nous indique que la visite de la maison se fait le jour-même à 15h. Dans ce genre de cas, il faut s’adapter. Heureusement, pas de grande excursion prévue ce jour-là.

On a un petit jardin pour faire notre barbec'
de Noël !
Nous arrivons devant la maison, où cinq ou six personnes attendaient déjà, et le propriétaire nous dit qu’il faut attendre un peu parce que @ù^$µ£ (avec son accent, il est parfois difficile de comprendre ce qu’il dit). Puis il annonce qu’il est l’heure, et il nous demande, seulement à Thomas et à moi, de venir avec lui. Euh… ? OK… En parcourant les vingt mètres de l’allée, il nous explique que la locataire a un chien alors qu’il était indiqué dans le contrat que les animaux n’étaient pas admis. Il frappe à la porte… attend… attend encore… nous montre le jardin… attend… Cinq longues minutes plus tard et d’humeur apocalyptique, elle daigne enfin ouvrir pour nous jeter à la figure une série de mots qui, liés en phrases, signifient que personne n’entrerait chez elle et qu’on ferait bien de quitter vite le jardin. Première fois qu’on voit ça. En fait, on servait de témoins, il savait certainement qu’il allait y avoir un problème…

Nous revenons donc vers ces autres personnes qui attendent vaillamment et le propriétaire, après avoir pris les coordonnées de tout le monde, nous renvoie tous tristement en disant qu’on arrangerait une autre visite. Alors que nous sommes sur le point d’enfourcher nos vélos, je me dis qu’il faudrait peut-être demander s’il faut fournir des documents particuliers. Comme nous venons d’ailleurs, des recherches auprès de la police ou des banques ne donneraient aucun résultat… Nous revenons donc vers le vieux monsieur (vous vous imaginiez un propriétaire de 40 ans ?? Rajoutez au moins 20 ou 30 ans.) et posons nos questions. S’ensuit une discussion où il nous demande quel travail nous exerçons et oh ! justement ! son fils est chimiste aussi ! Et hop ! on marque des points.

La présence de rideaux a été temporairement
suspendue pour cause de dégueulasseté.
Quelle surprise, le lendemain vers 17h, lorsqu’il nous appelle pour nous donner rendez-vous deux heures plus tard chez lui, sur les hauteurs de la ville, pour les papiers. Quels papiers ? On a la maison alors ? Déjà ? Mais… on ne l’a pas visitée… ! Après avoir pu s’arranger - on vous passe les péripéties stressantes - une amie nous emmène et nous donne son avis. Une liste de questions plus tard, nous voilà en train de visiter la maison voisine (il y en a 4 identiques au même endroit) et puis de signer le contrat en indiquant que nous entrerions le 28 octobre, soit deux semaines plus tard. Nous avons la possibilité de changer le mode de chauffage de la maison – comprendre « du salon » – en faveur d’une « heatpump » pour 10$ de plus par semaine. Selon notre amie, ça valait la peine et on économiserait de l’énergie, donc c’est vendu ! Nous apprendrons par la suite qu’il s’agit en réalité d’un climatiseur : nous avons donc l’air conditionné dans notre habitation.

Ce doit être la dixième ou onzième maison que nous avons visitée. Finalement, deux mois pour trouver un logement dans les circonstances actuelles, une maison si peu chère et correcte, dans un quartier calme près de la ville, c’est un exploit.

Le prochain épisode sera moins joyeux.

dimanche 27 octobre 2013

Le juste prix

Qui dit « On a trouvé une maison ! » dit ensuite immédiatement « Va falloir la meubler… »

Comme nous l’avions déjà fait en Belgique, le premier réflexe a été de consulter le « Ebay » local, ici appelé TradeMe. Même système d’enchères et d’achats immédiats, à une différence près : pour pouvoir poser des questions aux vendeurs, utiliser la fonction d’achat immédiat et enchérir sur plus de cinq articles à la fois, il faut créditer son compte de 10$. Tant pis, pas le choix…

Nous avons ainsi fait quelques bonnes affaires, telles qu’un fauteuil à 10$ et un lot de six chaises pliantes pour le même prix, ce qui nous permettra d’organiser des soirées jeux de société chez nous ! Le gros électroménager a également été trouvé via ce site, mais les prix sont beaucoup plus élevés. Par exemple, les machines à laver de 7 ans de moyenne se revendent entre 200 et 300$, alors qu’elles valent entre 1000 et 1500 neuves… L’avantage, par contre, c’est de pouvoir se faire livrer quand on s’adresse aux vendeurs qui sont mieux équipés que nous.

Deuxième option, pour les objets ménagers plus petits, ce sont les magasins de seconde main, qui font ici partie intégrante du mode de vie. Entre l'Armée du Salut, St Vincent de Paul (oui, même à l'autre bout du monde !), la "City Mission" et l'Ecoshop, y'a de quoi faire. Et je suis sure qu'il y en a encore des tas que je ne connais pas. Bref, tout ça pour dire que c’est bien pratique pour trouver des assiettes à 50c, des oreillers à 2$ et autres objets divers utiles dans une maison à des prix dérisoires.

Observez cette image et devinez combien nous avons payé ces articles à l'Ecoshop !
Une carte postale à gagner pour le plus proche !

La palme d’or revient aux « Garage Sales ». Car ils n’ont pas de greniers ici, alors ils vident leurs garages. C’est-à-dire que les gens décident parfois de se débarrasser de ce qu’ils ont en trop, alors ils ouvrent leur garage et mettent un panneau devant leur maison, voire au début de la rue pour le signaler, après avoir mis une annonce sur Internet ou au supermarché.
Parfois, des Garage Sales plus importants sont organisés par un comité et nous avons eu l’occasion d’aller à l’un d’eux, qui se tenait dans une salle attachée à une église. Le concept était sympa : tous les objets étaient disposés approximativement en fonction de leur usage – les ustensiles de cuisine ici, les vêtements là, le linge de maison ailleurs – et chacun faisait ses courses en prenant ce qui l’intéressait, demandant un prix par-ci par-là. Lorsqu’il pensait avoir fini, et il croyait cela parce qu’il n’a pas encore vu le téléphone là-bas ni le tupperware sur l’autre table, Chacun s’adresse à une personne en jaune pour payer avant de s’en aller. Et là, ça devient drôle, surtout lorsqu’on s’appelle Thomas. D’ailleurs, il existe un mot pour ça : « BARGAIN ».
*** 2$ le coussin ? Ok, je prends une caisse, j’en mets trois, j’ajoute des tableaux décoratifs, des essuies de vaisselle, des maniques et d’autres brols. 10$ pour tout ça, ça va ?
***  Combien pour les trois tables pliantes ? 10$ ? Et je peux prendre le diable avec ? Ha, 12… Bon, ça va. Mais finalement, on n’a besoin que de deux tables, 8$ pour ça ? Oh, vous voulez vraiment vous débarrasser de la troisième pour le même prix ? Pas de problème !
*** 1,50$ le super clavier ultra confort ? Génial ! Et si je prends cette lotion pour la peau et ce jeu PC pour 2$, ça va pour vous ?

Hassan Céhef, c’est possible*.

En gros, deux facteurs interviennent dans la transaction : d’une part, la somme dont le vendeur a besoin pour être content et, d’autre part, les objets que le vendeur accepte que vous emportiez. Il ne faut jamais essayer d’établir une relation quelconque entre ces variables.

Et puis, il faut aussi un fournisseur d'électricité et un pour Internet ! Que de temps épargné pour ces postes grâce à Steph qui nous a recommandé les leurs, en l'occurrence les moins chers. Rien de plus facile et rapide que de souscrire à ces services : on va sur le site Internet, on suit toutes les étapes pour déterminer nos besoins et choisir le plan tarifaire adapté, puis on reçoit un SMS qui confirme qu'ils s'occupent de tout ! Pour l'anecdote, le fournisseur d'électricité propose d'ajouter chaque mois à la facture un don pour la lutte contre le cancer. 

Mais, et l’article sur la maison ? Comment l’avez-vous eue ? Vous louez ou vous achetez ? Rendez-vous au prochain épisode !

… Hum… Plus sérieusement, on fera un article sur la maison quand on pourra prendre des photos de la maison, donc bientôt ;)



*Dédicace à Gab. Si vous ne comprenez pas, c’est normal, c’est une réplique issue d’un sketch des Nuls.