Ca y est, dans un mois, on s’envole !
Le stress monte : il reste de nombreux
problèmes à résoudre ! L’aide d’un militaire officier logisticien serait
la bienvenue. Oh, mais justement, une amie l’est ! Tentons donc
d’atteindre, au moins une fois, son niveau de compétence. Bon, OK, c’est pas
gagné.
Malgré plus de deux mois de ventes, il reste
chez mon père de nombreuses caisses de livres et tout autant de sacs de
vêtements, sans compter les objets divers. Et pourtant, si on en croit mon
inventaire, je me serais débarrassée d’environ un tiers de ce que j’ai mis en
vente… Me mentirait-il ?
Les propriétaires ont trouvé une nouvelle
locataire pour le studio que nous occupons. Bonne nouvelle : elle est
intéressée par plusieurs de nos meubles. Ce sera déjà ça en moins de solutions
à trouver. Par contre, nos vacances ne se combinent pas bien et je n’aurai pas
de réponse définitive avant que les 2/3 du mois d’aout soient passés.
Il va falloir commencer à organiser
sérieusement le déménagement, le stockage et les lieux où on va loger entre le
moment où on rendra les clés de notre appartement et celui où on décollera.
Aïe, aïe aïe…
Par contre, nous avons commencé à prendre des
contacts pour trouver un logement sur place. Il faut savoir que les loyers se
paient à la semaine, et que ça tourne facilement autour de 600 $. Ce qui
représente environ 1600 € par mois pour un petit appartement. Pour le moment,
grâce à la communauté de [www.couchsurfing.org], nous avons deux propositions
de chambre (oui, rien qu’une chambre à nous, le reste en commun) pour environ
200 $ par semaine. Nous continuons notre investigation en tenant compte de
toutes les contraintes et, au pire des cas, nous avons un motel réservé pour
les premiers jours et annulable.
Côté job, je m’apprête à postuler pour la
première fois à l’étranger, pour une offre qui colle tip top à mon profil !
Il s’agirait d’enseigner le français de manière ludique à des enfants. Croisons
les doigts !
Et alors, le pire du pire : l’emploi du
temps avant le départ. C’est maintenant que nos amis et surtout nos familles se
rendent compte qu’il reste peu de temps pour nous voir. C’est aussi maintenant
que nos agendas sont quasi complets, plus un seul weekend libre, parce que
d’autres s’y sont pris à l’avance pour nous réserver et parce que nous
aimerions aussi profiter une dernière fois des évènements organisés près de
chez nous. Donc pour ceux qui s’y prennent trop tard, qui ne parviennent pas à
se décider ou qui sont trop nombreux pour tomber d’accord sur une date, ça pose
problème. Et là, ce n’est plus à nous à être flexibles… parce que c’est
simplement impossible, surtout en tenant compte de tout ce qui est énuméré
ci-dessus.
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