En route pour l'aventure! Partie 1 : Bruxelles-Londres

Les bad boys arrivent, tremblez, aéroport de Bruxelles!

Mercredi matin : le jour J est enfin arrivé. Après avoir enfin bouclé tous les sacs, valises et autres sacoches, toute une délégation se met en marche vers la gare d’Arlon. Brigitte, Alain, Elodie et Stefano nous accompagneront pour la première partie de notre périple : une excursion de quelque 3 heures à travers la Wallonie pour rejoindre l’aéroport national. Le trajet se passe plutôt sans encombre, tout le monde vaque à ses occupations comme si nous partions une journée à la mer. Personne ne réalise encore pleinement l’ampleur de la situation. Tout cela semble si irréel.

Arrivés à Zaventem, le temps de comprendre comment obtenir nos cartes d’embarquement et de nous soulager de 2 valises de plus de 22kg, la première représentante de la famille de Laëtitia nous rejoint en la personne de Tante Joëlle. Notre petite équipe élit la cafeteria en tant que QG de nos derniers instants en Belgique. Le parrain, le papa et le frère de Laëtitia, ainsi que nos deux fidèles amis Yuliha et Melri, viennent compléter notre petite bande.

La délégation "aéroport" au complet.

Malheureusement, toute la bonne volonté du monde ne peut empêcher l’inévitable : l’heure de passer la douane a sonné, nous devons faire nos derniers adieux, de nombreuses paires d'yeux sont humides de larmes.

Première étape : London Heathrow

Tout d’abord, imaginez à l’aéroport de Bruxelles, dans la file pour monter dans l’avion, une puce surexcitée (« On s’en va ! On s’en va !! On s’en vaaaa !!! ») et un gars qui se demande ce qu’il fait là, et même ce qu’il est en train de faire tout court.

La grande découverte, en s’installant dans l’avion, est cet avant-gout du vol long-courrier : des télévisions étaient régulièrement suspendues au-dessus des sièges. Ces écrans indiquaient des informations utiles telles que la vitesse de l’avion, l’altitude de vol ou encore le trajet effectué en temps réel.

Laëtitia, en extase devant cette découverte qu’elle n’a pas quitté des yeux, en a oublié qu’on avait un courrier de la plus haute importance à ouvrir !

Dans 10 km, prenez le 4e nuage à gauche, direction Londres.

Arrivés à Londres, nous prenons le bus pour atteindre un autre terminal en 6 minutes et repassons par des contrôles avant d’entrer dans la zone de transfert. Ici, ça ne rigole pas : on ne blague pas avec la sécurité ! Ils sont même équipés d’un appareil qui scanne entièrement le corps à la recherche de métal ! Après cette étape, nous nous installons dans les luxueux sièges et profitons du WiFi gratuit pour informer nos fans en attendant notre vol vers Singapour, qui aura finalement 30 minutes de retard. Après avoir acheté deux coussins top confort pour se préparer à dormir dans les longs vols, nous mangeons un bout (heureusement pour Laëtitia) sous forme de plat préparé plutôt bon pour ce que c’est.

Approuvé par Rennie: "Il est bien confortable ce coussin!"

Lorsque nous connaissons enfin le numéro de porte d’embarquement de notre vol, nous nous dirigeons vers elle pour ne pas être en retard. Il s’est avéré que le temps annoncé de 20 min pour rejoindre cette porte était à diviser par au moins deux. Haha, personne ne rivalisera jamais avec l’aéroport de Bruxelles pour la distance entre la porte d’embarquement et l’entrée/sortie/récupération des valises !

On vérifie une nouvelle fois nos passeports avant de nous laisser entrer dans la zone d’attente de notre vol.

A suivre...

Petit bonus: impressions de l'aéroport de Londres.