dimanche 4 août 2013

M-1 et le stress organisationnel



Ca y est, dans un mois, on s’envole !

Le stress monte : il reste de nombreux problèmes à résoudre ! L’aide d’un militaire officier logisticien serait la bienvenue. Oh, mais justement, une amie l’est ! Tentons donc d’atteindre, au moins une fois, son niveau de compétence. Bon, OK, c’est pas gagné.

Malgré plus de deux mois de ventes, il reste chez mon père de nombreuses caisses de livres et tout autant de sacs de vêtements, sans compter les objets divers. Et pourtant, si on en croit mon inventaire, je me serais débarrassée d’environ un tiers de ce que j’ai mis en vente… Me mentirait-il ?

Les propriétaires ont trouvé une nouvelle locataire pour le studio que nous occupons. Bonne nouvelle : elle est intéressée par plusieurs de nos meubles. Ce sera déjà ça en moins de solutions à trouver. Par contre, nos vacances ne se combinent pas bien et je n’aurai pas de réponse définitive avant que les 2/3 du mois d’aout soient passés.

Il va falloir commencer à organiser sérieusement le déménagement, le stockage et les lieux où on va loger entre le moment où on rendra les clés de notre appartement et celui où on décollera. Aïe, aïe aïe…

Par contre, nous avons commencé à prendre des contacts pour trouver un logement sur place. Il faut savoir que les loyers se paient à la semaine, et que ça tourne facilement autour de 600 $. Ce qui représente environ 1600 € par mois pour un petit appartement. Pour le moment, grâce à la communauté de [www.couchsurfing.org], nous avons deux propositions de chambre (oui, rien qu’une chambre à nous, le reste en commun) pour environ 200 $ par semaine. Nous continuons notre investigation en tenant compte de toutes les contraintes et, au pire des cas, nous avons un motel réservé pour les premiers jours et annulable.

Côté job, je m’apprête à postuler pour la première fois à l’étranger, pour une offre qui colle tip top à mon profil ! Il s’agirait d’enseigner le français de manière ludique à des enfants. Croisons les doigts !

Et alors, le pire du pire : l’emploi du temps avant le départ. C’est maintenant que nos amis et surtout nos familles se rendent compte qu’il reste peu de temps pour nous voir. C’est aussi maintenant que nos agendas sont quasi complets, plus un seul weekend libre, parce que d’autres s’y sont pris à l’avance pour nous réserver et parce que nous aimerions aussi profiter une dernière fois des évènements organisés près de chez nous. Donc pour ceux qui s’y prennent trop tard, qui ne parviennent pas à se décider ou qui sont trop nombreux pour tomber d’accord sur une date, ça pose problème. Et là, ce n’est plus à nous à être flexibles… parce que c’est simplement impossible, surtout en tenant compte de tout ce qui est énuméré ci-dessus.

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